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VIDÉO – “L’idée est géniale” : les ventes de vêtements au kilo cartonnent
VIDÉO – “L’idée est géniale” : les ventes de vêtements au kilo cartonnent
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Vidéo: https://www.tf1info.fr/conso/video-reportage-tf1-a-rennes-et-lille-l-idee-est-geniale-les-ventes-de-vetements-au-kilo-cartonne nt-2267224.html
Les ventes des vêtements en kilo se développent de plus en plus en France.
Le principe est simple : la marque et le nombre d’articles ne comptent pas, mais le poids, oui. TF1 s’est rendu à Rennes et à Lille pour constater l’enthousiasme.
Une heure d’attente ! Il fallait prendre son mal en patience à l’ouverture de la friperie éphémère, à Lille, que montre le reportage du 13H de TF1 ci-dessus. Sur place, on trouve de tout : des cravates, des pantalons, des tee-shirts, des robes… Autant de vêtements vendus 70% moins chers que le neuf. La raison est simple : ici, il n’y a pas d’étiquettes ni de prix. Les vêtements doivent être pesés et en fonction, le kilo correspond à 40 euros.
“La surprise est bonne” , assure un client enjoué. “Évidemment, il faut fouiller un petit peu, il y en a pour tous les goûts” , ajoute-t-il.
La démarche écologique mise en avant
Entre les rayons, Rémy et Stéphanie, que suit notre reportage, chinent parmi les 5000 articles du magasin. Leur objectif est de faire de bonnes affaires tout en faisant attention au poids des vêtements. Un tee-shirt par exemple, c’est 150 grammes, alors qu’une veste peut en peser jusqu’à 700. Pour leur virée shopping, ils ont un budget de 50 euros chacun à respecter. “Pour 2 kilos, il y a 6 articles” , constate Rémy. “Cela revient à 80 euros”.
500 kilomètres plus loin, à Rennes cette fois, c’est le même engouement dans un autre magasin : il a connu une croissance de plus de 10% en un an. “L’idée, c’est de vraiment venir avec le produit qui nous plait, de le peser pour connaître son prix” , explique Stéphane Poulain, responsable du magasin “Kilo Shop“. “Après, c’est une histoire de style et de choix qu’on fait.”
Au-delà des bonnes affaires, les clients sont également attirés par la démarche écologique “pour améliorer les choses au niveau du gaspillage aujourd’hui”, ajoute un client. “Je trouve que l’idée est géniale” , dit-il, très enthousiaste. À raison : acheter un vêtement d’occasion plutôt qu’un vêtement neuf réduit l’empreinte carbone de 80%.
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